L’arrivée d’un enfant dans une famille peut être une source de grande joie, mais aussi de beaucoup d’adaptations en peu de temps pour les parents. La mère vivra de grands changements tant anatomiques qu’hormonaux. Il n’est pas surprenant que les jours et les semaines suivant l’accouchement, diverses émotions intenses apparaissent de façon très soudaine. La grande majorité des femmes vivent cela dans les premiers temps après l’accouchement : c’est ce qu’on appelle le « baby blues » ou le « blues » postpartum. Explorons de plus près comment la naturopathie peut contribuer à prévenir le « baby blues », dans une approche holistique, afin de mieux vivre cette période bien particulière.
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Santé de la femme
S’énergiser avec des protéines cet été
Les protéines soutiennent presque tous les processus dans le corps, et après l’eau, les protéines sont essentielles à la vie. Notre corps a besoin de protéines à des fins structurelles, comme le maintien de notre peau, de nos os, nos cheveux et nos muscles. Elles servent également à une foule d’autres fonctions : enzymes métaboliques, enzymes digestives, anticorps, équilibre acide et alcalin…etc..
Optimiser la testostérone naturellement : zoom sur les facteurs liés au mode de vie
La testostérone est souvent associée à la masculinité et à la virilité, mais elle est indispensable dans le maintien de la santé et du bien-être, tant chez les hommes que chez les femmes. Chez les hommes, elle est principalement produite dans les testicules et joue un rôle clé dans le développement des caractères sexuels secondaires, tels que la croissance de la barbe, l’approfondissement de la voix et le développement musculaire. Chez les femmes, elle est produite en plus petite quantité par les ovaires et les glandes surrénales, contribuant à la libido, à la densité osseuse et à la santé musculaire. Cependant, divers facteurs liés au mode de vie peuvent influencer les niveaux de cette hormone. Voici une exploration approfondie des stratégies naturelles pour optimiser la testostérone.
La progestérone : bien plus qu’une affaire d’utérus !
Malheureusement, encore aujourd’hui, plusieurs femmes ménopausées ayant subi une hystérectomie se voient refuser l’accès à la progestérone par leur médecin, prétextant que cette hormone n’a d’utilité que pour l’utérus. Pourtant, l’accumulation de données démontre que les actions physiologiques de cette hormone s’étendent à plusieurs fonctions non reproductives.
La progestérone ne reçoit pas encore l’attention qu’elle mérite, et sa contribution à la santé est largement sous-estimée. S’il est vrai que les principaux organes producteurs sont les ovaires et que le rôle premier de cette hormone est de préparer l’utérus pour une éventuelle grossesse, cela ne signifie pas que la progestérone n’a plus d’importance une fois en ménopause, au contraire !
3 grands piliers de la fertilité
Quand on pense à la fertilité, on pense généralement au système reproducteur, comme s’il s’agissait d’une île, comme s’il n’était pas relié aux autres systèmes. Pourtant, mis à part la santé des organes reproducteurs et la quantité/qualité de leur produits (ovules, spermatozoïdes), d’autres systèmes et paramètres influencent la fertilité, tant chez l’homme que chez la femme. Dans cet article, j’ai choisi de vous présenter 3 piliers affectant la fertilité: la fonction mitochondriale, la fonction thyroïdienne et l’équilibre glycémique.
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L’association des naturopathes agréés du Québec, regroupe le plus grand nombre de professionnels de la naturopathie au Québec.
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