Les impacts de l’exposition au soleil sur notre santé

par | Habitudes de vie, Thérapeutes et autres professionnels

Exposition au soleil, santé et naturopathie

L’exposition au soleil pour la santé est sujet à controverse. D’un côté nous savons qu’il pourrait augmenter nos risques de développer un cancer de la peau. Or, des études récentes suggèrent qu’un manque d’exposition au soleil pourrait être tout aussi dommageable pour la santé. Des chercheurs ont également conclu qu’une saine exposition au soleil était bénéfique pour la santé : elle pouvait diminuer les risques d’apparition de certains cancer (sein, colorectal) et avoir des impacts bénéfiques sur l’hypertension et autres maladies cardiovasculaires, sur le syndrome métabolique, sur la sclérose en plaques, sur l’Alzheimer, sur l’autisme, sur l’asthme, sur le diabète de type 1 et même sur la myopie.1 Nous ferons le point, dans cet article, sur plusieurs des bienfaits de l’exposition au soleil sur la santé, ainsi que sur les précautions à prendre. Avant tout, il faut savoir que le soleil émet différents types de rayonnement, dont 3 nous intéressent particulièrement :

  • les ultraviolets (UVA, UVB, UVC), invisibles mais pouvant être responsables du vieillissement de la peau et des cancers pouvant être attribué à l’exposition au soleil. Notez que les UVC ne se rendent pas jusqu’à nous.
  • Les rayons thermique ou rayons infra-rouges invisibles mais responsables de la sensation de chaleur. Si la nuit, la température baisse, c’est que la face de la Terre à l’ombre n’est plus exposée aux infrarouges
  • la lumière visible qui constitue la majorité des rayons émis par le soleil

Fort heureusement pour nous, la couche d’ozone bloque le passage de plusieurs radiations nocives pour la vie humaine. Il importe de savoir que la pollution intercepte les rayons lumineux et les rayons chimiques, mais qu’elle augmente grandement l’intensité des rayons thermiques – effet de serre. L’intensité de l’ensoleillement est tributaire de la latitude et de l’altitude où l’on se trouve, la saison, la couverture nuageuse, le taux d’ozone, etc. 4 Sur la terre, nous recevons 5% d’UV, 39% de rayonnement visible et 56% d’infrarouge. Les UV sont atténués par leur passage au travers de l’atmosphère. Entre autres, les UVC sont complètement filtrés pas la couche d’ozone et ne nous parviennent pas. Quant aux UVA et UVB, ils frappent notre planète respectivement à 98% et 2%. 5 Le rayonnement UV augmente, au fur et à mesure que l’on grimpe en altitude (10% tous les 1 000 m). Donc, à 1 500 m d’altitude le rayonnement est 15% plus important qu’au niveau de la mer. Les nuages freinent un peu aussi les UV, soit de 5 à 10% pour les plus hauts et de 30 à 70% pour ceux d’altitude moyenne. Les plus bas, sombres comme en période orageuse vont les bloquer complètement.5 Notez que les vitres filtrent les UVB, mais pas les UVA. À moins d’être des vitres anti-UV. On doit aussi compter sur l’effet de la réverbération, l’eau, la neige et le sable ayant un plus grand effet qu’un couvert végétal. 5

Exposition au soleil et santé : impacts physiologiques

Rayonnements et effets

Outre la mélanogénèse, les rayons ultraviolets (UV) du soleil semblent avoir des effets régulateurs sur l’organisme humain. Ils pourraient avoir de multiples effets bénéfiques comme :

  • l’activation du métabolisme de base,
  • la diminution de la tension artérielle,
  • la diminution des risques de développer l’Alzheimer et un déclin cognitif,
  • la diminution des risques de maladies auto-immunes (diabète type 1, sclérose en plaques), etc.
  • en plus de ses propriétés antimicrobienne et antifongique.

Selon Robert Masson3, naturopathe, les UV contribueraient à la fixation de l’iode par la thyroïde, pour la formation d’iodotyrosines; cela expliquerait, en partie, les processus d’hivernation et d’hibernation. Cet effet n’a pas encore été démontré chez l’humain. Mais, on note tout de même une fluctuation saisonnière de la TSH et de la T4, qui pourrait laisser penser à un processus similaire,et expliquer l’effet des UV sur le métabolisme. Les études laissent à penser que les UVB pourraient favoriser la production de la sérotonine et des endorphines, augmentant la détente et réduisant sensation de douleur. Quant aux UVA, ils augmenteraient les taux d’oxyde nitrique. La vitamine D et l’oxyde nitrique sont jugées responsables d’une bonne partie des bienfaits des UV.1, 2, 3, 8, 11 Parmi les bienfaits de la vitamine D, on note une diminution des risques de cancer, lorsque celle-ci est produite par la peau ou appliquée de façon topique. Pour ce qui est de l’oxyde nitrique, on notera ses bienfaits sur le système cardiovasculaire, le système immunitaire et sur le métabolisme.11 L’Institut de recherche dédié à la vitamine D, Grassroot Health, note un impact positif de l’exposition aux UV sur le microbiote de la peau. En retour, ce microbiote pourrait procurer une protection contre les UV.11

Effet positif, régulateur ou potentiellement négatif?

Côté immunité, ils pourraient être stimulants.11 Mais selon une autre étude, les UV pourraient aussi induire un état immuno-tolérant, voir immunosupresseur. Les UVB auraient des effets pro-inflammatoire,alors que les UVA seraient plutôt oxydatifs; dans les deux cas ces effets occasionnent des dommages à l’ADN.7 Comme quoi on trouve ce que l’on cherche. Les études cherchant les bienfaits du soleil, démontrent ses bienfaits. Mais, dès que l’on veut mettre de l’avant les dangers de l’exposition solaire, on les trouve aussi. Tout est dans la durée de l’exposition et dans les conditions sous lesquelles sont faites cette même exposition.

Trop, c’est comme pas assez!

 Les rayons thermiques (infrarouge)

Ils possèdent un pouvoir pénétrant très important; ils peuvent traverser jusque dans les cellules et les mitochondries.11 Cela a pour effets d’accroitre l’activité de la peau, d’activer la sudation, d’accélérer la dissolution et l’absorption des tissus pathologiques et d’activer la croissance et la régénération des tissus. On pense que l’effet de chaleur est aussi impliqué dans la synthèse de la vitamine D, au niveau de la peau.8, 11 Au niveau cardiovasculaire, les infrarouges dilateraient les vaisseaux sanguins, participeraient à une meilleure microcirculation, réguleraient la fonction endothéliale, abaisseraient la fréquence cardiaque et la pression sanguine et pourraient augmenter l’oxygénation en améliorant l’amplitude respiratoire. Ils ont aussi un effet antalgique, par effet direct de la chaleur sur les terminaisons nerveuses. Les infrarouges (proches) permettraient aussi la production de mélatonine au sein des mitochondries de la peau; cela pourrait diminuer les dommages causés par les UV, augmenter la production de collagène, aider la réparation des tissus, moduler l’inflammation, etc.11 L’ensemble de cette photobiomodulation pourrait améliorer certaines conditions, telles que les allergies, l’hypothyroïdie, le sommeil, douleurs chroniques, la dépression, la démence, le cancer, la performance et la récupération physique, les maladies cardiovasculaires. On propose un mécanisme impliquant les mitochondries, puisque des changements dans les niveaux d’ATP ont été observés à la suite d’une exposition aux infrarouges (proches).11

  1. Masson mettait en garde contre l’effet stimulant de l’activité folliculaire; on ira donc modérément avec l’héliothérapie dans le cas de troubles menstruels, fibromes utérins, endométriose, etc. 3

Les rayons lumineux

Quant à eux, les rayons lumineux ou visibles du soleil ont une action bienfaisante sur l’état psychologique. Par l’intermédiaire de l’hypophyse, les systèmes nerveux et hormonal se trouvent favorablement stimulés par la lumière qui atteint la rétine de l’œil. Chez l’humain c’est le captage de la lumière par la rétine qui se transforme en influx nerveux et se rend à la glande pinéale, qui permet la régulation circadienne des processus de veille et de sommeil. La glande pinéale réagit à l’alternance lumière-noirceur en produisant davantage de mélatonine la nuit. Ainsi, un manque de luminosité se traduit par une fonction pinéale réduite, avec divers impacts sur la physiologie : troubles du sommeil, troubles de fertilité, puberté précoce, prise de poids, etc. 11

Mélanogénèse

La mélanine est un pigment produit, entre autres, par les mélanocytes et retrouvé dans les kératinocytes; ils s’y accumulent et servent d’écran solaire naturel en bloquant les photons UV. Mais, la mélanine aurait bien d’autres effets physiologiques, incluant la régulation de l’homéostasie de l’épiderme, un effet antioxydant et possiblement un effet antimicrobien. Nous ne verrons pas la voie métabolique de la mélanogénèse en détail, mais retenons qu’elle dépend d’un complexe d’enzymes nécessitant de la tyrosine, du souffre et divers cofacteurs enzymatiques. Il existe deux types de mélanine, soit la phéomélanine et l’eumélanine. Le type de peau déterminera la proportion de chacune. Ainsi, on retrouvera plus de phéomélanine dans les peaux plus claires et plus d’eumélanine dans les peaux plus foncées. La pigmentation est régulée par plus de 125 gènes et, en simplifié, la production de mélanine est initiée par un système de signalisation et de transcription impliquant la MSH et le MC1R. Ce dernier diminuerait les effets mutagènes induits par les UV, en augmentant la réparation du génome dans les mélanocytes. Un polymorphisme du MC1R est commun parmi les gens à peau claire (principalement les personnes rousses) et les rends plus à risque de cancers de la peau. La L-DOPA, le p53, l’AMPc et la noradrénaline jouent aussi un rôle dans le processus de pigmentation.6 L’exposition de la peau aux UV induit de l’inflammation via une cascade de cytokines et de médiateurs vaso et neuroactifs; il en résulte le fameux « coup de soleil ». Cela survient lorsque l’exposition excède le seuil de réparation; les kératinocytes activent leur apoptose et meurent. Les dommages activent le gène p53 (activation de la réparation de l’ADN ou induction de l’apoptose si les dommages sont trop importants). 7 Ces effets se font sentir plusieurs heures après la fin de l’exposition; puis, les kératinocytes prolifèrent sous l’action de facteurs de croissance de l’épiderme. Ces facteurs de croissance entraînent une hyperkératose (augmentation de l’épaisseur de la peau). Ce phénomène, ainsi que la pigmentation, peuvent être considérés bénéfiques, jusqu’à un certain point, puisqu’ils protègent contre la pénétration des UV.7 Slominski et al. rapportent une étude faites sur les souris qui a démontré qu’une simple exposition des yeux aux UVB augmentait les taux sanguins de MSH. Puis, que l’exposition des yeux aux UVA augmentait non seulement la MSH, mais l’ACTH et les endorphines; ceci entrainant un effet immunosuppresseur.8  L’exposition de la peau n’est donc pas le seul élément inducteur de la mélanogénèse. Pour d’autres mécanismes d’action des UV, l’article de Slominski est à lire.8

Exposition au soleil et santé : la production de vitamine D

La peau réagit à l’exposition aux UVB et agit un peu comme les végétaux en photosynthèse, pour produire la vitamine D.  La synthèse se déroule au niveau de l’épiderme. Elle est réalisée à partir du 7-déhydrocholestérol, un intermédiaire de synthèse du cholestérol, présent dans les membranes des cellules du derme et de l’épiderme. Puis, elle est transportée par la circulation sanguine partout dans l’organisme, mais surtout vers les surrénales, les os et les intestins. Deux autres étapes sont nécessaires pour pouvoir l’activer, soit un passage hépatique et une activation finale au niveau des reins.12 Une information circule encore sur le fait que de se laver après une séance d’héliothérapie empêcherait la production de vitamine D. Premièrement, il faut comprendre que le sébum ne contient pas de cholestérol et ne saurait donc pas être impliqué dans la synthèse de la vitamine D. Deuxièmement, la production se fait instantanément dans l’épiderme dès le début de l’exposition.13,14 Plusieurs autres facteurs doivent être considérés. Ainsi, si l’indice UV est inférieur à 3, nous ne produisons pas de vitamine D. Pour obtenir un indice UV suffisant, il faut que le soleil soit au-dessus de 30% d’angle. Un truc pour le savoir : si votre ombre est plus courte que vous, vous produirez de la vitamine D.12 Sous nos latitudes, cela implique une exposition entre mai et octobre. Il est suggéré de privilégier les périodes entre 10h et 14h. Pour ce qui est de la durée d’exposition, plusieurs considérations sont à prendre12 :

  • La couleur de la peau (échelle de Fitzpatrick);
  • La protection (crème solaire, vêtements, tatouage, etc.);
  • Le couvert nuageux;
  • La pollution;
  • L’altitude;
  • L’âge.

La composition corporelle serait aussi à considérer. On note des taux généralement plus bas de vitamine D chez les personnes obèses. Différentes hypothèses ont été amenées, telles que la dilution vs un volume sanguin augmenté, la séquestration dans les tissus adipeux, ainsi qu’une altération de la bioconversion hépatique.15 La voie métabolique de synthèse nécessite, outre le cholestérol, Mg, Ca, vitamines K2, B6, B12 et C.16 Notons qu’il existe aussi un processus de photodégradation, lorsque les taux sont suffisants.17

Risques de l’exposition au soleil

Un consensus ressort sur le fait que les coups de soleil représentent le facteur associé à une augmentation des risques de certains types de mélanomes et de cancers des kératinocytes. Le degré d’exposition aussi semble corrélé avec certains types de cancer de la peau. L’exposition occasionnelle semble augmenter les risques, dans presque tous les cas. En revanche, une exposition en continue (chronique) semble diminuer les risques de mélanomes.1 Parmi, les personnes à peau claire, les risques de cancers sont généralement en corrélation avec la géographie.4

Lit de bronzage

Les taux d’UV émanant des lits de bronzage peuvent être jusqu’à dix fois plus puissants que le soleil, faisant de ces appareils un agent carcinogène important. Plus l’utilisation se fait tôt dans la vie et plus le risque augmente. Il n’existerait pas d’usage sécuritaire de tels appareils. L’industrie met l’emphase sur la production de vitamine D, mais l’exposition en salon de bronzage excède de beaucoup ce qui est nécessaire pour une production adéquate de vitamine D.7

Crèmes solaires

Différentes études avec des filtres solaires (généralement SPF < 15) suggèrent que l’impact sur la synthèse de la vitamine D est minimal. Plus l’indice de protection contre les UVA est élevé et moins la synthèse de vitamine D est freinée, puisque les UVB passent davantage. Cependant, peu d’études ont utilisé des facteurs de protection plus élevés et une revue suggère donc que l’impact pourrait se faire sentir avec des écrans ou des crèmes SPF 50, par exemple.9 Aussi, les études ne se sont pas penchées sur les autres bienfaits des UV. La Vitamin D Society affirme que, si la crème solaire est appliquée adéquatement et qu’elle est à large spectre, elle peut bloquer jusqu’à 95% de la synthèse de la vitamine D.12 Bien évidemment, comme naturopathe, nous tiendrons compte des ingrédients potentiellement dommageables dans les crèmes solaires que nous suggérerons. Pour savoir comment choisir votre crème solaire,  lisez notre article à ce sujet. 

Suggestions naturopathiques : exposition au soleil et santé

Compte-tenu des bienfaits et des risques, les suggestions du naturopathe prennent tout leur sens. Nous devrons user de prudence avec nos clients. La première précaution étant de bien insister qu’il ne faut pas brûler la peau. Cela pourrait se traduire par les suggestions suivantes :

  • Entre mai et octobre, éviter les expositions prolongées, mais privilégier entre 10h00 et 14h00;
  • En hiver, le prendre à midi, à l’abri, mais toujours par exposition directe aux rayons solaires, pour pouvoir bénéficier de l’impact lumineux;
  • Proposer des séances de saunas infrarouge lorsque l’exposition solaire n’est pas possible, ni suffisante;
  • Pour la synthèse de la vitamine D :
    • Exposer l’équivalent en surface des mains et du visage, 10 à 15 min./jour minimum; ou 5 minutes 3 fois par jour matin, midi et fin PM (selon le type de peau);
    • Plus la surface de peau exposée est grande, moins longtemps on a besoin de s’exposer;
    • Vérifier que votre ombre est plus courte que vous (indice UV > 3);
    • Se procurer un dispositif ou une application qui mesure notre exposition solaire;
    • Pour les enfants et les personnes âgées favoriser un ensoleillement plus répété que prolongé.
  • En général, utiliser la crème solaire intelligemment :
    • On préfère un écran à base de zinc;
    • Si on prévoit une exposition prolongée;
    • Si on est tantôt à l’ombre, tantôt au soleil, on privilégie le port d’un chapeau à rebord et des vêtements qui couvrent bien.
  • Toujours tenir compte du type de peau et de sa tolérance;
  • Avant une séance d’héliothérapie : repas frugal, éviter l’alcool, les aliments riches en protéines, sucre et farine raffinés;
  • S’assurer d’apporter à son organisme abondance d’antioxydants via une alimentation riche en fruits et légumes frais et variés, en noix et graines, en bons gras
  • On pourra suggérer des suppléments d’antioxydants au besoin pour leur effet protecteur (particulièrement bêta-carotène, vit. E);
  • Pour les bébés, un bain d’ombre permet de les habituer graduellement (À noter que les filtres solaires ne sont pas efficaces pour les bébés de moins de 6 mois); tous les enfants devraient utiliser, lorsque nécessaire, une crème avec des écrans solaires;
  • Bouger en s’exposant;
  • S’hydrater adéquatement;
  • Mettre les matelas et oreillers dehors au printemps (tue les acariens, différents champignons et le candida);
  • Attention aux multiples produits photosensibilisant en dermatologie, comme en herboristerie ou en aromathérapie; les plantes contenant des coumarines (fenouil, céleri, persil, panais, angélique, aneth, anis, coriandre, bergamote, citron, etc.); sans oublier le millepertuis;
  • Éviter le soleil durant les phases actives d’herpès, de zona ou de lupus; ou encore pour certains cas d’affections cardiaques, rénales, ou pulmonaires; un avis médical est requis.

 

Exposition au soleil et santé : conclusion

Nous aurions pu élaborer encore sur les bienfaits du soleil. Mais, retenons que l’héliothérapie préventive devrait faire partie de l’hygiène générale. C’est un des facteurs naturels de santé que tout naturopathe devrait encourager. Il exige toutefois de prendre des précautions. Ce n’est donc pas une question de séances de bronzage. Si l’on regarde la démarche naturopathique, plusieurs facteurs de santé sont impliqués dans une héliothérapie saine et sécuritaire. Ainsi, l’exercice, l’alimentation adaptée et une hydratation adéquate feront que la séance procurera tous ses bienfaits, sans engendrer une augmentation significative des risques.

Références :

1 Lars Alfredsson et al, Insufficient Sun Exposure Has Become a Real Public Health Problem, Int J Environ Res Public Health . 2020 Jul 13;17(14):5014. doi: 10.3390/ijerph17145014, https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32668607/, consulté le 31 mai 2022.

2 https://www.futura-sciences.com/sante/dossiers/medecine-soleil-risques-dangers-102/page/4/ consulté le 31 mai 2022.

3 Masson André, Le Soleil, l’homme et la santé, Ed Prosveta.

4 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3709783/ , consulté le 31 mai 2022.

5 https://www.brulure.fr/coup-de-soleil/causes/ , consulté le 31 mai 2022.

6 D’Mello, S., et al., Signaling pathways in melanogenesis, International journal of molecular science, 2016, consulté le 31 mai 2022. 7 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3709783/ , consulté 31 mai 2022.

8 Andrzej T Slominski et al., How UV Light Touches the Brain and Endocrine System Through Skin, and Why, Endocrinology, Volume 159, Issue 5, May 2018, Pages 1992–2007, https://doi.org/10.1210/en.2017-03230 , consulté 31 mai 2022.

9 https://www.researchgate.net/publication/316047089_Seasonal_Variations_in_TSH_Serum_Levels_in_Athyreotic_Patients_under_L-Thyroxine_Replacement_Monotherapy , consulté le 31 mai 2022.

10 Passeron, T., et al., Sunscreen photoprotection and vitamin D status, British Journal of Dermatology, 2019.

11 https://www.grassrootshealth.net/blog/happens-body-exposed-full-spectrum-sunlight/ , consulté le 31 mai 2022.

12 https://www.vitamindsociety.org/blog-detail.php?id=22 , consulté le 31 mai 2022.

13 https://www.ocl-journal.org/articles/ocl/pdf/2014/03/ocl140001.pdf , consulté juin 2019.

14 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3897598/ , consulté juin 2019.

15 Vranic, L. et al., Vitamin D deficiency : consequence or cause of obesity?, Medicina (Kaunas), 2019. doi: 10.3390/medicina55090541, consulté le 31 mai 2022.

16 https://www.grassrootshealth.net/blog/nutrients-factors-influence-vitamin-d-levels-dose-response/ , consulté janvier 2022.

17 Matthias Wacker & Michael F. Holick (2013) Sunlight and Vitamin D, Dermato- Endocrinology, 5:1, 51-108, DOI: 10.4161/derm.24494 ,consulté le 31 mai 2022.

Marie-Hélène Lessard, ND.A.

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